Neurospell est un outil de correction automatique expérimental très impressionnant. Il est basé sur sur les réseaux de neurones artificiels.
Chaque mot ou phrase que vous écrivez dans le texte est analysé en compilant un modèle statistique, une analyse lexicale et les règles grammaticales. Si un mot lui paraît douteux dans le contexte de la phrase, il le soulignera et vous présentera des alternatives. Ce sera le cas, par exemple, si vous oubliez ou rajoutez une lettre dans un mot ou si vous utilisez des mots comme tout et tous.
NeuroSpell te propose des corrections:
Chaque mot ou phrase que vous écrivez dans le texte est analysé en compilant un modèle statistique, une analyse lexicale et les règles grammaticales. Si un mot lui paraît douteux dans le contexte de la phrase, il le soulignera et vous présentera des alternatives. Ce sera le cas, par exemple, si vous oubliez ou rajoutez une lettre dans un mot ou si vous utilisez des mots comme tout et tous.
NeuroSpell te propose des corrections:
- Mots en gras : propositions de corrections de NeuroSpell.
- Mots soulignés : mots sur lesquels il faut porter une attention particulière, parce que NeuroSpell a un doute.
- Mots en italique : mots que NeuroSpell n'a pas trouvé dans son dictionnaire.
Exemple:
Le fil d’araigné, solide, extensible et biocompatible, est souvent présenter comme le Graal des tisserands. Mais ca récolte est malaisé : les aracnides, souvent cannibale, se prête mal à l’élevage industriel. Depuis une trentaine d’année, le génie génétique et la chimie ont donc enrôlait divers organismes – chèvres, bactéries, levures, pommes de terre… – pour leur faire produire les chaînes de protéines qui constitue ce fil si convoitaient. Les succès sont restés mitigé, en raison notamment de la lourdeur des procesus de transformation.
Le fil d’araigné, solide, extensible et biocompatible, est souvent présenter comme le Graal des tisserands. Mais ca récolte est malaisé : les aracnides, souvent cannibale, se prête mal à l’élevage industriel. Depuis une trentaine d’année, le génie génétique et la chimie ont donc enrôlait divers organismes – chèvres, bactéries, levures, pommes de terre… – pour leur faire produire les chaînes de protéines qui constitue ce fil si convoitaient. Les succès sont restés mitigé, en raison notamment de la lourdeur des procesus de transformation.
Résultat:
